Sur le pied de guerre contre les maladies émergentes, le médecin ortho-moléculaire Camerounais est fortement encouragé par plusieurs organisations professionnelles pour ses réalisations.
Cancer, paludisme, Sida, Ebola et le Covid-19. Aucune de ces maladies ne plombe la science médicinale du Dr Charles Hopson. Fabriquées ou naturelles, le médecin ortho-moléculaire Camerounais trouve les solutions durables à ces maladies dans la nature.
Bien que ses gélules anti-Covid ne soient pas reconnues par les autorités camerounaises, Dr Charles Hopson ne baisse pas la garde. Les personnes souffrant de ce virus au pays et hors des frontières trouvent la guérison en consommant ses produits. Ses prouesses sont reconnues par plusieurs organisations professionnelles africaines.
En moins d’une semaine, Dr Charles Hopson a reçu deux distinctions honorifiques. La première lui a été remise aux Black Africa Awards le 11 septembre 2021 et la seconde trois jours plus tard par la Convention panafricaine des médias.
Saisissant ces deux occasions, Dr Charles Hopson a renouvelé son engagement pour la promotion de la médecine africaine: «La pandémie du Covid nous l’a prouvé, la médecine occidentale (allopathique) a prouvé ses faiblesses et ses limites. Et c’est l’Afrique, qui demain, va guérir des millions de personnes à travers le monde».
125 milliards de dollars
L’amoureux des herbes prescrit la confiance et la sérénité face aux nouvelles formes de maladies sorties des laboratoires occidentaux ou naturelles. «Nous sommes prêts. Nous n’avons pas peur des maladies émergentes. Nous avons combattu Ebola, le Covid, nous allons combattre toutes les épidémies fabriquées ou naturelles qui seront face à nous. Nous allons trouver des solutions à ces épidémies-là», rassure le poulain de Linus Pauling, double Nobel.
Face au scepticisme des autorités camerounaises vis à vis de la médecine locale, Dr Hopson mise sur le temps, tout en rappelant que «la taille de la médecine naturelle dans le monde entier est de 125 milliards de dollars. Si le Cameroun arrivait à avoir 1% de cette enveloppe, cela amènerait l’économie africaine à des niveaux inimaginables».
Malheureusement, regrette-t-il, «nous avons encore des dirigeants qui continuent de penser que le meilleur est ailleurs».
D.N.
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