C’est un secret de polichinelle. Les premiers cas de coronavirus détectés en Afrique ont été importés des pays à risques. On a fermé les frontières. Trop tard, le virus est là. Les gouvernants se battent pour l’anéantir. Ils appellent leurs populations à se confiner et à adopter les mesures sanitaires prises par les autorités administratives pour limiter la propagation du virus. Mais la population fait la sourde oreille.
Certaines personnes ne se croient pas concernées. Elles disent que c’est la maladie des blancs. Elles ont peut-être raison. Ou pas. Le premier africain à avoir chopé ce virus a miraculeusement survécu. Ce qui a poussé plusieurs médias occidentaux à se poser plusieurs questions sur la capacité de l’homme noir à résister au coronavirus. Des plateaux spéciaux ont été organisés, des articles de presse rédigés. Jusqu’à ce jour, peu d’Africains ont été arrachés à la vie par ce virus. Toute chose qui n’arrange pas ceux qui ont pris plaisir à nous voir sombrer.
Depuis quelques jours, des messages vocaux que certains (Africains) préfèrent botter en touche, nous font savoir que certains vaccins sont déjà en circulation dans plusieurs pays africains. Ils seraient très dangereux. Une autre forme de transmission d’un coronavirus »plus efficace » capable de démolir l’Africain, après l’échec de la première version. Ces personnes qui disent être au courant de ces manœuvres, invitent les Africains à n’accepter aucun vaccin en cette période. Ces multiples alertes nous rappellent une récente vidéo dans laquelle un blanc nous expliquait comment le Sida a été propagé en Afrique.
LPA
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