Prix de l’excellence scientifique 2021 aux Awards de l’Avenir le 3 décembre 2021 à l’hôtel Hilton à Yaoundé, le spécialiste de la médecine ortho-moléculaire se prononce une fois de plus sur la Covid-19 et les conséquences de la vaccination en cours dans le monde.
Dr Charles Hopson
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Dr Charles Hopson : «la vaccination n’a protégé et ne protégera personne contrairement à ce qu’on nous fait croire»

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Prix de l’excellence scientifique 2021 aux Awards de l’Avenir le 3 décembre 2021 à l’hôtel Hilton à Yaoundé, le spécialiste de la médecine ortho-moléculaire se prononce une fois de plus sur la Covid-19 et les conséquences de la vaccination en cours dans le monde.

Selon le jury des Awards de l’Avenir, lequel de vos travaux vous vaut ce prix de l’excellence scientifique ?

J’ai reçu le prix de l’excellence scientifique pour mes différents travaux, aussi bien pour la lutte contre la pandémie de la Covid-19 que pour les autres solutions. J’ai été le premier à formuler un produit contre la Covid-19. Ce produit était déjà sur le marché au mois de mars 2020 au moment où personne n’y avait pensé. J’étais le premier à annoncer au monde qu’il y a des solutions africaines. Au-delà de cela, j’ai quand même rassuré les populations africaines contrairement aux informations qui venaient des médias occidentaux qui avaient pour but de créer une sorte de psychose collective. Je pense que je me suis assez exprimé sur les vaccins et leur dangerosité. Je pense que tout cela a contribué à ce qu’on m’offre un prix. Je ne m’y attendais pas. Parce que je n’ai jamais travaillé pour obtenir des Awards. C’est une mission pour moi.

Je me rappelle quand j’ai commencé, beaucoup de personnes m’ont dit qu’on va me tuer. Je n’ai jamais eu peur de la mort. Si je peux servir l’Afrique et mourir pour ça, je pense que ce serait une mort méritée.

Que représente cet Awards pour vous ?

Il représente un grand honneur pour moi, une consécration également parce que ça m’a permis de voir que ce que je fais est quand-même remarqué par d’autres personnes, bien que je ne le fasse pas pour elles. Egalement, ça m’a donné un sens de responsabilité profonde sur la mission que je me suis assignée depuis plus d’une vingtaine d’année. C’est de permettre à l’Afrique de s’affranchir scientifiquement, de se décomplexer et de montrer que l’Afrique peut soigner le monde, va soigner le monde et soigne déjà le monde.

Que répondez-vous à ceux qui vous traitent de charlatan ?

Je leur réponds que j’ai été formé par un double prix Nobel. Le seul individu au monde à avoir reçu deux prix Nobel. Le Dr Linus Pauling. C’est lui le pionnier de la médecine ortho-moléculaire. Pendant toute sa vie, ce monsieur que j’ai rencontré en 1991 lorsque je travaillais dans un grand institut de recherche à Washington DC, dans la métropole qui s’appelait The Institute of Genomic Research (TIGR) dans le Maryland. C’est cet institut qui avait fait le séquençage du génome humain. C’est où j’ai rencontré le Dr Linus Pauling. Pendant toute sa vie, il a été considéré comme un charlatan aux Etats-Unis, malgré le fait qu’il avait reçu deux prix Nobel. Donc ça ne me surprend pas du tout. Il y a des gens qui le disent par ignorance. Il y en a qui le disent parce qu’ils sont là pour défendre certains intérêts. Nous sommes ici dans un combat, un combat qui parfois peut amener certains de nos frères à nous attaquer. Ils ne comprennent pas le sens du combat. Ils ne savent pas qu’on combat pour eux. En réalité, certains sont là avec des intérêts croisés. Ils défendent les intérêts des occidentaux en s’attaquant à nous. Quand j’ai formulé mon produit, ils ont dit que j’étais un fou. Après quand le produit a commencé à marcher, ils ont dit qu’on va me tuer, mais ça ne m’empêche pas de continuer à avancer.

Vous avez annoncé de nouveaux variants de Covid-19 après la vaccination. Les faits vous donnent raison aujourd’hui…

Tout à fait. Je ne suis pas surpris.  Je me souviens quand j’avais formulé mon premier produit, on m’a dit que je suis qui ? Ils prenaient Pr Didier Raoult pour leur Jésus-Christ. Après, ils se sont rendus compte que les produits africains avaient une certaine efficacité. Heureusement la Covid a permis aux Africains d’ouvrir les yeux. Maintenant pour ce qui est des variants, j’ai dit dès le début qu’ils vont être là et qu’ils seront d’origine vaccinale. Je le disais en connaissance de cause. Parce que le virus déjà à lui-même est un virus fabriqué. Je l’ai déclaré à la presse avant même que les prix Nobel ne fassent de déclarations. C’est un virus fabriqué parce que quand vous regardez le comportement de ce virus, vous vous rendez compte que ce n’est pas un virus naturel. Quand un virus est fabriqué, on commence à faire des expérimentations vaccinales sur ce virus-là, il y a plusieurs possibilités. Les deux premiers variants sont venus de l’Afrique du Sud et de l’Angleterre. Ils proviennent des personnes qui avaient été expérimentalement vaccinées. Au Cameroun, à l’allure où on veut engager une campagne de vaccination, on risque d’avoir notre propre variant ici. Heureusement qu’on a vacciné moins d’1% de la population. Mais si on arrive à 10 ou 15%, on risque d’avoir notre variant ici au Cameroun. S’il n’y avait pas de vaccination expérimentale, il n’y aurait pas de variants. Nous avons connu la grippe espagnole entre 1918 et 1920. Cette grippe-là, en trois mois, a tué 50 millions de personnes dans le monde. C’est une grippe qui s’est progressivement affaiblie et a disparu seule. Il n y’avait pas eu de vaccination. On n’a pas vu le type d’expérimentation qu’on voit aujourd’hui. Au bout d’un an et demi, la grippe est partie. A la fin, il y a eu une immunité collective acquise.

La Covid-19 était une pandémie anticipée, préparée alors que la grippe espagnole est venue de manière brusque. On aurait pu éliminer cette pandémie en moins de six mois, si on la laissait avoir son cours normal. Les pandémies vont lentement. Au bout de quelque temps, elles disparaissent d’elles-mêmes.

Quelle sera donc la prochaine étape après la vaccination selon vous ?

Premièrement il faut savoir que la vaccination n’a pas protégé les gens et elle ne protégera personne contrairement à ce qu’on nous fait croire. Vous avez vu l’exemple du Premier ministre français qui s’est vacciné deux fois et qui a attrapé la Covid. Donc ça ne protège pas les gens. Deuxièmement, prenons l’exemple d’Israël. On a pris Israël un peu comme le pays cobaye, où les gens ont été vaccinés de manière massive. Depuis le mois dernier, le taux de contamination à Israël s’est élevé à plus de 10%. Il y a plus de gens contaminés de corona aujourd’hui qu’avant la vaccination. Comment vous pouvez expliquer cela ? La vaccination fragilise le système immunitaire. La vaccination a pour rôle d’éliminer la maladie, de renforcer le système immunitaire ; mais s’il y a plus de gens qui sont contaminés après la vaccination, ça veut dire que la vaccination ne protège personne. Maintenant il y a une folie vaccinale qui veut nous être imposée par certains intérêts cachés. A chaque pays de prendre ses responsabilités. Je pense que le Cameroun est très bien placé parce que nous avons développé plusieurs solutions endogènes. Ça serait une erreur d’imposer la vaccination au Cameroun, sinon on aura le même sort que les autres.

Entretien mené par Didier Ndengue

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