Aucun vaccin ne devrait plus jamais être administré à un Camerounais sans l’aval des experts locaux (médecins, naturopathes, députés, associations de défense des droits des consommateurs, journalistes, blogueurs, parents, etc.) qui n’émargent pas dans les caisses de l’industrie pharmaceutique, encore moins de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La générosité de ces institutions ne semble pas aussi généreuse que nous le pensons.
Le contenu de la correspondance du Vicaire général du diocèse d’Obala, Mgr Luc Onambélé, aux responsables des centres de santé et écoles de la localité, le 19 octobre 2020, nous prouve que nous devons redoubler de vigilance face aux multiples vaccins qui sont régulièrement administrés à nos populations. Celui présenté comme devant lutter contre le cancer du col de l’utérus sur des jeunes filles de 9 à 13 ans, contient des substances bizarres aux conséquences désastreuses, selon l’homme de Dieu.
Le diocèse d’Obala attire notre attention sur le sujet. Nous ne devons donc plus accepter de faire vacciner nos enfants sans se rassurer de la fiabilité des essais cliniques, qui doivent être clean comme l’eau de source du village Tangui. Les résultats définitifs devront toujours passer par les mains des experts locaux.
Rappelons-nous toujours que les pouvoirs publics, sous le contrôle du Chef de l’Etat, Paul Biya, donnent la possibilité à chaque parent camerounais d’accepter ou pas de faire vacciner son enfant.
Didier Ndengue
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