« Le pasteur et l’imam ont vendu mon terrain pensant que je ne pouvais pas m’en sortir. Ils ont dit aux villageois que j’étais décédé », rapporte Loïc (nom d’emprunt) ce lundi 15 juin 2020 à La Plume de l’Aigle.
Pendant que les deux « hommes de Dieu » annonçaient sa fausse mort pour mieux vendre son terrain de 1500 m2 situé au lieu dit Yansoki Bakoko à Douala 3e, Loîc était pris en charge dans un centre hospitalier de la ville de Douala. Affaire à suivre.
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