Depuis quelques temps, des influenceurs, notamment Paul Chouta qui se prévaut d’être le TGV de l’info, journaliste et lanceur d’alerte en exil, semble avoir lancé leur dévolu sur le magistrat Georges Théophile Timba, Président du Tribunal de Première Instance de Yaoundé Centre administratif. Nous avons voulu comprendre, pourquoi seulement en ce moment, pourquoi deux articles consécutifs à charge contre ce magistrat au phénotype différent de celui qui a été peint, quelle est donc la relation de cause à effet ? C’est le B A BA du journalisme d’investigation…
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TPI de Yaoundé Centre administratif : qui en veut au Président Georges Théophile Timba ?

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Depuis quelques temps, des influenceurs, notamment Paul Chouta qui se prévaut d’être le TGV de l’info, journaliste et lanceur d’alerte en exil, semble avoir lancé leur dévolu sur le magistrat Georges Théophile Timba, Président du Tribunal de Première Instance de Yaoundé Centre administratif. Nous avons voulu comprendre, pourquoi seulement en ce moment, pourquoi deux articles consécutifs à charge contre ce magistrat au phénotype différent de celui qui a été peint, quelle est donc la relation de cause à effet ? C’est le B A BA du journalisme d’investigation…

Les moyens dont disposent les professionnels de la lutte contre la cybercriminalité permettent aujourd’hui de savoir d’où viennent les attaques et de les tracer. Les motifs décelés pour le cas d’espèce, nous semblent autant infâmes qu’inavoués, relevant de quelques jalousies basiques qu’un milieu professionnel aussi délicat pourrait favoriser. Les auteurs ne peuvent qu’utiliser des moyens lâches, manquant de cran, puisque l’abus de pouvoir exercé par un magistrat fait l’objet de poursuites, l’activité judiciaire étant contrôlée au Cameroun.

Les moyens de recoupement que nous avons utilisés grâce à l’intelligence artificiel ont permis de comprendre les véritables motivations de cette cabale matérialisée par des affirmations alambiquées qui découvrent inconsciemment une série d’indices, menant très rapidement à la supercherie, mais également vers l’auteur du délit de délation, au fur et à mesure que le récit s’est égrené. Au poids des commandes, cet influenceur tapis en Europe, loin de faire l’unanimité dans ses révélations habituellement tapageuses, allant en droite ligne de règlements de compte de quartier, véritable script à gage qu’il est de la vie publique, commet souvent des impairs, comme quoi, il n’y a pas de crime parfait. Certaines victimes résignées opposent le silence à une symétrie réactive, pouvant établir un inconfort dans le cercle vicieux d’une balle de ping-pong. Ce qui est regrettable est que cette attitude permet de s’approprier de l’audimat des crédules, puisque « qui ne dit mot consent ». C’est en ce point que l’arme des réseaux sociaux est devenue asymétrique et il serait grand temps de mettre la main sur ces ingénieurs de la désinformation et de la cabale qui détiennent un véritable fonds de commerce entre les mains.

Revenant sur le magistrat qui tient d’une main experte son tribunal, habitués aussi des arcanes de la Cour d’Appel du Centre, nous avons poussé nos enquêtes auprès de cette juridiction, écoutant les commentaires des usagers et visitant les services dans leurs coins et recoins, dans le but de déceler alors toute trace de voracité et de prébende, entendu qu’un usager abusé est  un haut-parleur de couloir. Au cours de nos investigations, nous n’avons déceler rien de tel, à moins que ce magistrat ait été mis au courant de nos investigations assidues, arpentant en effet les bureaux du Tribunal, en passant par le greffe, dont il nous a plutôt été signalé le professionnalisme du Greffier en Chef, épouse en effet d’un certain Colonel Badjeck, le calme est plutôt studieux. Et si le Colonel à la retraite était par contre la cible finale de cette entreprise ? Les exploitations intelligentes des numéros +237 699217624 et +49 163 2480636 et les vérifications inverses permettent de tomber sur une liste de commanditaires qui s’est restreinte à la période de la production du deuxième article, et l’identité du lâche donne froid au dos. L’analyse de la photo illustrant l’article, les termes techniques utilisés dans les deux articles et les cas évoqués ajustant mal une racine vraie d’une narration tronquée et médisante ont été l’imprudence de trop pour démasquer en effet l’identité de l’auteur, pris en flagrant délit de mauvaise camaraderie.

La conclusion serait peut-être de laisser ce magistrat faire son travail, surtout en ce moment délicat de la vie nationale. S’il est une certitude qu’il ne sera pas éternel au Tribunal de 1ère Instance de Yaoundé Centre Administratif, la seule volonté des prestidigitateurs ne précipitera pas le temps de Dieu.

Serge Awomba, Correspondance particulière

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