Reconnaissance: le président Faustin-Archange Touadera décore la journaliste camerounaise Céleste Kapen

Elle a été élevée au rang d’Officier dans l’ordre de la reconnaissance centrafricaine, le 23 avril 2024 par le chef de l’Etat.

Elle a reçu cette distinction honorifique des mains de Faustin-Archange Touadera, président de la République centrafricaine et par ailleurs, président en exercice de la Conférence des chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (Cemac).  C’était le 23 avril 2024, au palais de la Renaissance à Bangui. Céleste Kapen ajoute ainsi une nouvelle ligne à son CV (Curriculum Vitae).

La journaliste est désormais « Officier dans l’ordre de la reconnaissance centrafricaine ». Elle a été honorée par le numéro un centrafricain pour son « dynamisme, son professionnalisme, et son abnégation totale à la promotion de la souveraineté du pays et de l’Afrique ». Elle n’y croyait pas. « C’est un rêve ! C’est incroyable ! Je pense que je ne me suis pas encore réveillée. C’est une stupéfaction mais surtout une grande euphorie. Je n’ai pas les mots pour décrire ma joie. Même dans mes rêves les plus fous, je ne pensais pas être décorée par un chef de l’Etat de la trame du Pr. Faustin-Archange Touadera », nous confie Céleste Kapen.

La RCA, mon second pays

Elle s’est rendue en République centrafricaine à maintes reprises dans le cadre de ses activités professionnelles. « La RCA, loin de toutes les appréhensions possibles (pays en guerre), est un Etat souverain, stable, fort. Ce pays regorge d’un énorme potentiel, les habitants sont formidables », poursuit Céleste Kapen. Elle qui remercie Dieu pour la grâce renouvelée en sa modeste personne. La journaliste dédie cette médaille à sa défunte mère, à sa famille, au top management d’Afrique Média TV, à tous ses collaborateurs de près ou de loin et à ceux qui la soutiennent.

Au président Faustin-Archange Touadera, elle dit infiniment merci et renouvelle au passage son engagement à servir la République centrafricaine, le Cameroun et l’Afrique, « pour l’éveil considérable des consciences et la libération totale de notre continent du joug colonial. »