Plusieurs articulations meublent les plus de deux décennies d’existence de Messagerie et Tourisme pour l’Afrique, créée le 16 août 1999.
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Messagerie : MTA souffle sa 25ème bougie

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Plusieurs articulations meublent les plus de deux décennies d’existence de Messagerie et Tourisme pour l’Afrique, créée le 16 août 1999.

1999/2024. Cela fait exactement 25 ans que la Messagerie et Tourisme pour l’Afrique (MTA) existe. Son président du Conseil d’administration, Lucas Kamdem (Souop Soffo Sa’a Mekù) et son équipe ont prévu plusieurs activités pour marquer d’une pierre blanche cette date mémorable.

Tout au long de l’année en cours, le top management de cette entreprise représentée dans plusieurs pays (Cameroun, Chine, France, Gabon, Tchad) partagera son expérience avec le public dans le but de susciter l’esprit entrepreneurial.

L’équipe démontrera comment de jeunes camerounais ambitieux sont partis d’une petite entreprise logée dans un petit bureau à Bonanjo (quartier administratif de Douala) à une multinationale.

« Il y a eu des moments très difficiles, surtout quand on s’est lancé dans l’internationalisation. C’était également des occasions d’apprentissage. On a compris très tôt que ceux qui échouent, sont ceux qui calent par terre. Nous sommes tombés, on s’est relevé », explique Lucas Kamdem.

L’entreprise spécialisée dans le transport des colis, le service postal, l’intermédiation commerciale, l’hôtellerie, la restauration, la formation, en plus d’avoir des filiales dans les pays cités supra, est surtout présente dans les dix régions du Cameroun. « Sans fausse modestie, nous sommes l’une des plus anciennes et la plus efficace entreprise du transport de la messagerie au Cameroun », se vante le PCA, conscient « qu’il faut transmettre ce que nous avons appris pendant 25 ans ».

Dans les prochaines années, l’entreprise compte ouvrir de nouvelles filiales au Congo, en République centrafricaine, en Côte d’Ivoire, etc.

Réduction du train de vie de l’État/Pr Viviane Ondoua Biwole : « il est possible de rationaliser les dépenses de l’État sans nécessairement paralyser les actions régaliennes »

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