L’auteur de ce roman était l’invité de la 6ème édition de ‘‘Lire à Douala’’, à l’Institut Français du Cameroun.
Joseph Mbarga dédicace un exemplaire du roman "Derrière les sourire du masque" au chanteur Blick Bassy. Photo : LPA
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Littérature : Joseph Mbarga se révèle ‘’Derrière le sourire du masque’’

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L’auteur de ce roman était l’invité de la 6ème édition de ‘‘Lire à Douala’’, à l’Institut Français du Cameroun.

L’écrivain camerounais Joseph Mbarga était la tête d’affiche de l’association ‘’Lire à Douala’’ lundi 4 avril 2022 à l’Institut Français du Cameroun (IFC), antenne de Douala. Sous la modération d’Armelle Touko, l’auteur de Derrière le sourire du masque a partagé son expérience avec le public venu à sa rencontre.

Joseph Mbarga va revenir sur ses premiers pas dans le monde littéraire. En classe de 4e à Yaoundé, se souvient-il, «j’étais parmi les lauréats d’un concours littéraire. J’étais deuxième». Il se rappelle que l’argent gagné à cette époque grâce à cette compétition littéraire lui avait permis de s’offrir un walkman. Passionné de nouvelles, il en a déjà publié  trois recueils (La faim ne justifie pas les moyens, Le vieil homme est amer, Qui veut la peau des gorilles).

Derrière le sourire du masque est le premier roman de Joseph Mbarga. Un ouvrage de 472 pages édité par Proximité, qui conte l’histoire du trafic d’objets d’art et de culte pendant la colonisation. Les faits se déroulent à Babona, un petit royaume virtuel situé sur une île au large de Douala. Les deux principaux acteurs sont ‘’Mola’’ et ‘’Alima’’.

L’auteur de ce roman était l’invité de la 6ème édition de ‘‘Lire à Douala’’, à l’Institut Français du Cameroun.

Couverture de  »Derrière le sourire du masque »

Lire pour écrire

Dans sa note de lecture, la journaliste Valgadine Tonga, promotrice de La Voix du Koat, écrit qu’avec ‘’Derrière le sourire du masque’’, « Joseph Mbarga a gravi les échelons à vitesse V ». Elle ajoute : «Il a acéré sa plume, muri ses recherches, exploité ses connaissances, développé son imagination. Ce premier roman respire la fouille, des voyages, la documentation».

Joseph Mbarga précise que pour écrire, il faut lire. «J’ai commencé à m’intéresser à l’écriture très tôt. Des jolies petites histoires d’enfants. La Case de l’oncle Tom, la fiction, les vies d’auteurs qui ont des vies très romancées ».

Simon Keng

 

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