Le régulateur des médias promet des sanctions exemplaires contre les auteurs de contenu susceptible de troubler le bon ordre social.
A quelques mois de l’élection présidentielle d’octobre prochain, les discours de haine et de division repartent de plus belle au Cameroun. Leurs auteurs écument les plateaux de télévision, de radio et les médias sociaux pour semer le trouble dans le subconscient des Camerounais, installant ainsi un climat de peur. Face à ces nombreuses dérives, le président du Conseil national de la communication (CNC) sort de sa réserve. Joseph Chebongkeng Kalabubsu, après sa mise en demeure adressée aux professionnels des médias le 13 janvier 2025, « observe une fois de plus avec une vive inquiétude, la multiplication dans les médias classiques et sur les réseaux sociaux de discours incitant à la haine tribale et à la division », condamne le patron du régulateur dans un communiqué publié ce 3 mars.
Lire le communiqué du CNC ci-dessous.
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