Glencore, candidature unique de l’opposition et l’interdiction des débats sur la santé du président Paul Biya, sont entre autres faits saillants qui seront abordés par Dipita Tongo et son illustre invité ce jeudi 17 octobre 2024 sur les antennes de STV.
Jusqu’ici, il ne s’est exprimé que sur le réseau social X (ex-Twitter). Pendant trois ans, Denis Nkwebo a enchaîné punchlines, uppercuts, conscientisation, positions républicaines et pédagogie sur la plateforme d’Elon Musk. Face à l’actualité brûlante du moment, le journaliste, commissaire aux droits de l’homme et analyste politique fait un retour sur le petit écran ce jeudi 17 octobre 2024, à 21h (heure du Cameroun) sur STV dans le cadre de l’émission « Entretien avec…» présentée par Dipita Tongo.
Glencore, candidature unique de l’opposition et l’interdiction des débats sur la santé du président de la République Paul Biya par le ministre de l’Administration territoriale, Paul Atanga Nji, sont entre autres sujets qui seront abordés par Dipita Tongo et son invité.
C’est un secret de polichinelle. Denis Nkwebo soutient la récente sortie du ministre Atanga Nji sur l’absence du chef de l’État, tout comme il partage le combat du bureau exécutif du Syndicat national des journalistes du Cameroun (Snjc) dirigé par Marion Obam, qui s’oppose catégoriquement à toute tentative de musellement de la presse par le pouvoir en place en cette veille de l’élection présidentielle.
Du Snjc à la Cdhc
Rappelons que Denis Nkwebo a dirigé le Snjc de 2015 jusqu’à sa nomination à la Commission des droits de l’homme du Cameroun (Cdhc) en 2021 par le président de la République pour un mandat de cinq ans. Sous sa direction, le Snjc était de tous les combats pour la protection et la défense des droits des journalistes camerounais. Le plus grand mouvement syndical des journalistes du Cameroun a créé des démembrements dans les dix régions du pays. Il est devenu en 2016 membre du comité directeur de la Fédération africaines des journalistes (Faj). Grâce à son leadership, le Snjc occupe une place de choix au sein de la Fédération internationale des journalistes (Fij). Son héritage est jalousement préservé et entretenu par l’actuel exécutif qui ne ménage aucun effort pour maintenir la flamme syndicale allumée.
Simon Keng
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