Dans son discours de fin d’année 2020, le président de la République du Cameroun laisse planer quelques zones d’ombre sur l’origine de la pandémie qui ravage le monde actuellement. Incursion dans la tête du dirigeant camerounais. [Première partie]
Le covid-19 est un virus chinois selon le président américain Donald Trump. C’est un fruit du Centre Pasteur pour d’autres sources bien renseignées. En conclusion, c’est un virus inventé par l’homme pour exterminer l’homme. Le président français Emmanuel Macron semble l’avouer quand il dit « nous sommes en guerre ». Une phrase qu’il n’a cessé de prononcer au début du coronavirus.
Le président Paul Biya le dit en d’autres mots dans son discours du 31 décembre 2020 à la nation. Le dirigeant camerounais choisit la forme interrogative pour exprimer sa pensée : « Faut-il y voir la responsabilité de l’homme, coupable d’exploiter sans modération les ressources naturelles de la planète et de se livrer sans cesse à des conflits générateurs de massacres et de maladies, ainsi qu’à des expériences pour développer des armes nouvelles ? » Une belle question adressée aux laboratoires et puissances étrangères derrière ce nouveau virus et bien d’autres qui ont secoué la planète.
Le président Biya, qui maitrise parfaitement le degré de nuisance des pays qui exploitent cette pandémie pour étendre leur hégémonie, préfère ne pas citer de noms pour éviter les représailles. En tant que leader et patriarche averti, le chef de l’Etat se doit de protéger son peuple contre toute forme de menace extérieure. Il sait donc de quoi il s’agit quand il parle des « armes nouvelles ».
Les pyromanes de notre planète n’ont cessé de pousser des réflexions malsaines sur d’autres formes de guerre que le terrorisme et la rébellion pour imposer la terreur. L’industrie pharmaceutique, associée à celle de l’informatique, peut faire l’affaire en ce 21e siècle, où un programme de réinitialisation (grand reset) serait en gestation.
Les médias corrompus tentent en vain d’étouffer cette information. Ce n’est pas pour autant que les Camerounais doivent dormir sur leurs lauriers. « J’ai personnellement constaté que la plupart de nos concitoyens ne respectent plus les mesures de protection édictées par le Gouvernement », regrette Paul Biya, qui exhorte de nouveau les Camerounais à porter leurs masques, à se laver régulièrement les mains et à « faire appel à un médecin ou à tout autre personnel de santé au cas où des symptômes apparaissent. C’est le seul moyen de préserver les vies et de freiner la propagation du virus ».
Didier Ndengue
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