L’élément des forces de défense et de sécurité du Cameroun a été tué le 1er septembre 2020 par deux terroristes sécessionnistes dans la région du Nord-ouest.
Les services spécialisés sont aux trousses des assassins de l’inspecteur de police de 1er grade, Joseph Ndaji Nlend Bikoi. L’élément des forces de défense et de sécurité du Cameroun, en renfort au commissariat central de Bamenda dans la région du Nord-ouest, a été abattu dans ladite ville le 1er septembre 2020 par deux individus « en possession d’armes de guerre », selon des sources officielles.
Le Ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement camerounais, René Emmanuel Sadi, dans un communiqué de presse signé le 4 septembre 2020, condamne cet acte « lâche et criminel.»
Les deux individus qui ont ouvert le feu sur une patrouille de Police du Commissariat Central de Bamenda font partie des « bandes armées terroristes sécessionnistes » qui sévissent dans les régions du Nord-ouest et Sud-ouest du pays. L’inspecteur de police Bikoi trouve la mort au cours de cette attaque.
Soutien aux forces de défense
Dans sa sortie, René Emmanuel Sadi réaffirme aux forces nationales de défense et de sécurité, « le vif et ardent soutien de la Nation tout entière, en même temps qu’il transmet à la famille de la victime, les condoléances du chef de l’Etat, chef des forces armées, Paul Biya ainsi que celles du gouvernement de la République ».
Depuis bientôt quatre ans, les forces de défense et de sécurité sont la cible privilégiée des bandes armées qui sèment la terreur dans les deux principales régions anglophones du Cameroun.
Simon Keng
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