Homosexualité : «De Cette chose-là », « les mentalités ne peuvent évoluer »
Depuis l’annonce de la visite au Cameroun de l’ambassadeur français au LGBT, la République, l’opinion publique, la presse et le peuple sont plongés dans une grande psychose liée à ce que décideront les autorités au sujet de ce que Paul Biya avait désigné par « cette chose ».
Les camerounais n’ont pas oublié le viol ; la saignée, la violence de la pénétration et la profondeur des blessures de l’histoire, infligées au cœur de la nation à son Elite, par le très tristement célèbre Louis Paul Aujoulat, « homosexuel éternel et devant l’Eternel ». Ce monsieur, a marqué du sceau de l’opprobre toute une génération qui à son tour s’est organisée pour la régénération de l’espèce prédatrice, la perpétuation des pratiques homosexuelles.
La révocation de cette visite par les autorités camerounaises était souhaitée et attendue pour rassurer toute la communauté hostile aux pratiques d’un autre genre que la France entend nous faire partager comme valeur communes (mariage pour tous, inceste, zoophilie, anustocratie, nécrophilie) …
Derrière ce grand titre ronflant et pompeux, pris très au sérieux en France (Monsieur l’Ambassadeur), se cache l’homme en charge (publiquement, internationalement et officiellement) de défendre la cause des lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels et tous ces nouveaux genres en rupture de bans avec la morale, la nature et la société.
Le chahut assourdissant des satisfaits de l’annulation de cette visite par nos autorités nous prouve qu’il y en a encore parmi nos élites qui ne sont pas marquées du sceau de l’opprobre. On se souvient encore que Paul Biya est fils de catéchiste. Un qui aura martelé toute sa vie aux ouailles, aux brebis, aux croyants que Dieu ne créa que deux genres, la femme et l’homme. Et que les relations sexuelles humaines se passent absolument entre un homme et une femme, autrement ce serait une hideuse, que les anglophones désignent par « abomination ».
La répulsion de cette visite par nos autorités ne devrait pourtant pas faire oublier une vérité manifeste: Il y’a au Cameroun, une emprise dans les arcanes du pouvoir, de ce que Paul Biya avait appelé « cette chose-là ».
Ainsi,
L’ambassadeur français pour les LGBT a bel et bien été invité par le très puissant lobby homosexuel du Cameroun. Ce lobby est composé d’hommes d’affaires connus et d’autres inconnus, d’universitaires, d’hommes des médias ; d’hommes des droits, de hauts fonctionnaires, d’hommes politiques, d’hommes d’église, d’hommes de rangs et de vulgaires citoyens. C’est à leurs demandes, que ce « luciférien » cet adepte de « Belzébuth », chantre des relations sexuelles contre nature et inhumaines devait venir au Cameroun. L’agenda caché prévoyait un plaidoyer auprès des autorités camerounaises, pour la dépénalisation de l’homosexualité, une campagne d’influence pour la légalisation du mariage homosexuel et des actions pour fustiger l’homophobie et la stigmatisation des homosexuels et individus évoluant dans le même registre.
« Cette chose-là » est derrière nous!
Il est raisonnable de penser que le refus d’un séjour de l’avocat des droits de la pédérastie en France n’enlèvera rien ni à cette chose, ni à ceux qui exercent une emprise tentaculaire sur le Cameroun.
Au contraire, j’aurai été pour une visite de ce monsieur au Cameroun ; pour que les masques tombent, pour que les pédés soient mis à nu, pour que le peuple les confonde. Parce que le grand défenseur des homosexuels en France, en Europe, de plus en plus dans les pays africains est en mission, pour faire fléchir les gouvernants homophobes et les lois contre les mariages contre-nature, Il savait qu’il allait faire de belles rencontres entre homos. Peut-être même des partouzes et des orgies dans des hôtels ou des villas de luxe, dans les quartiers huppés de la capitale, qui ne sont connus que des pédés.
L’ambassadeur pour les LBGT, sait qu’au Cameroun, il y a des promotions sociales que l’on obtient facilement, mais après avoir « donné le derrière ». Il sait que dans les campus universitaires, les mémoires et les thèses passent par une « allégeance » de l’étudiant à son directeur. Parfois à tout un jury. En retour, l’étudiant se rechargera auprès de plus jeunes de sa faculté, de naïfs lycéens et de jeunes nigauds de son quartier.
L’ambassadeur des homos sait très bien de hautes personnalités du pays poussent la perversion jusqu’à l’ignominie, en sodomisant des jeunes gens dans leurs bureaux contre des sommes d’argent, un emploi ou un marché.
Ce ne sera pas en fermant la porte à ce vulgaire criminel et singulier monsieur, que les boites de nuits exclusivement fréquentées par des homosexuelles et des lesbiennes, à Yaoundé, fermeront leurs portes. Pour, elles aussi, ces boites, doivent devenir des lieux ordinaires comme des églises comme les bars de Yaoundé.
Une enquête de journaliste a révélé l’existence dans les villes de Yaoundé et de Douala d’auberges exclusifs dont les clients ne sont que des lesbiennes et des gays. Et que certaines artères de ces villes sont des zones de travail de prostitués lesbiennes et garçons homos. La qualité et la quantité de véhicule 4X4 qui circulent à petite vitesse sur ces rues sombres, à la recherche de garçons pour les hommes et de filles des dames, disent la hauteur et la profondeur de la contre-nature au Cameroun. Aucun secteur n’est écarté de tout soupçon, que ce soit dans les milieux sportifs, artistiques, politique ou le monde des affaires. D’ailleurs ces affaires ont défrayé la chronique, concernant les mœurs de stars et de personnalités.
Que son Excellence l’ambassadeur de lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles n’ait pas pu entrer au Cameroun pour retrouver ceux qui sont ses amoureux ne changera rien à la vie de tous les jours. Ou alors cette scabreuse affaire excitera encore plus les homos du Cameroun, (certains cachés dans les hautes sphères de la République) à une vigoureuse pénétration de leur lobbying pour la dépénalisation de l’homosexualité et la légalisation du mariage entre personnes du même sexe au Cameroun. Ils auront le soutien des milieux homophiles français, qui pourraient exercer un chantage sur les autorités camerounaises ayant encore un peu de moralité en plus de l’autorité.
La République du Gabon, après avoir été longtemps farouchement répressive envers les pratiques homosexuelles et les homosexuels eux-mêmes, a fini par adopter une loi dépénalisant l’homosexualité. Ladite loi a été promulguée par le président Ali Bongo et les pédés du Gabon ne se cachent plus pour s’embrasser, deux barbus se roulent des pelles comme le feraient un homme et une femme, sous les lampions clignotants d’une boite de nuit de Libreville. C’est ce que veulent les pédés du Cameroun. Voilà pourquoi ils ont appelé le diable en personne en renfort ce monsieur l’ambassadeur des pédés de France. Dans cette France où un certain Jean Marie Le Pen avait dit un jour, au cours d’une émission télévisée consacrée au mariage homosexuel : « Par devant ou par derrière, pourvu que ça entre ». Fin de citation.
Les camerounais attendent mieux, surtout au moment où l’Amérique démocratise les TIC, la chine révolutionne l’industrie, l’inde révolutionne l’agriculture, La France, la grande France mène la campagne pour le mariage pour tous. Pourquoi crient-ils au désamour des Africains ? Nous continuons à attendre le partenariat gagnant. Gagnant. Promesse de Nicolas Sarkozy. On attend, on attend…
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