L’Artemisia dans les champs et labos occidentaux est « puissant » et dans les champs et labos africains est « controversé » et « déconseillé ». Et certains Afros disent Amen!
J’aurai aimé me limiter aux exemples africains pour vous convaincre sur ce qui se passe actuellement mais je sais qu’en vous annonçant que nos amis occidentaux sont aussi très intéressés par l’Artemisia dans la recherche contre le covid-19 et que Madagascar a juste été plus avancé, vous serez certainement plus sereins. Ce n’est pas de votre faute c’est l’idéologie coloniale qui hante encore vos esprits. Certains veulent absolument l’avis du « maître » mais se disent indépendants. En tout cas, ceux qui ont compris avancent. Vous pouvez voir en image qu’il y a effectivement des plantations d’Artemisia en Europe et des études sont en cours pour trouver la solution au Covid-19. Malheureusement pour eux, c’est un pays africain qui a pris de l’avance et découvert la solution. C’est ce qu’on appelle « couper l’herbe sous le pied ». Ce qui a le don de frustrer. Cette plante a déjà été utilisée en Chine et en Europe en 2005 pour soigner deux formes de coronavirus, le SARS-CoV et le MERS-CoV. Et devinez quoi : l’OMS et ses amis avaient bien gardé leurs langues dans la poche. Ils ont laissé passer cela en sourdine pour ne pas éveiller les soupçons sur l’injustice que subissaient nos chercheurs qui proposent l’Artemisia contre le paludisme.
Quand le ciel tombe sur la tête
On avait prédit des millions de morts dans les pays les plus pauvres, mais c’est les pays les plus riches qui essuient des milliers de morts. Chez les pays « pauvres », même s’ils restent en état d’alerte, les nouvelles sont de plus en plus positives.
Au Sud-Kivu en RDC où nos frères vivaient un véritable génocide, il ne reste qu’un seul cas de Covid-19, qui est sous traitement et son état s’améliore. En Mauritanie, on ne note plus aucun cas de Covid-19. En Chine, après avoir traité les Noirs comme des extraterrestres, deux médecins chinois deviennent noirs à la suite de leur traitement au covid-19. Ils parlent d’effets secondaires, je parle d’effet boumerang.
L’Artemisia qui pourtant était déjà utilisé en Chine et en occident pour traiter le Sras Cov en 2005 veut être combattu aujourd’hui. Ils ne conseillent pas ce médicament et paradoxalement justifient officiellement la coopération entre le Max Planck Institute of Colloids and Interfaces de Potsdam (Allemagne) et l’ArtemiLife Inc. (américain) sur le postulat selon lequel « des études initiales en Chine ont montré que l’extrait alcoolique d’armoise douce (Artemisia annua) était le deuxième médicament à base de plantes le plus puissant utilisé lors de l’épidémie de SRAS-CoV de 2005 ». Pendant que deux puissances mondiales, l’Allemagne et les USA s’étaient donc déjà mises ensembles à travers une annonce faite le 08 avril 2020 pour travailler sur cette plante et sortir le médicament contre le covid-19, c’est Madagascar, le petit pauvre pays qui sort sa solution à l’Artemisia. Normal que tout ce qui arrive frustre. Normal que la situation actuelle dérange.
Ne voyez-vous donc pas que le monde change ?
En réalité si nous retournons 6 mois en arrière, nous comprendrons simplement que ce que le monde vit aujourd’hui est inédit. Nous avons vécu dans un monde où les animaux périssaient par milliers à cause des feux de brousses causés par l’Homme. Sur une planète où on prenait des vols polluants pour aller à de multiples colloques contre le changement climatique. Les entreprises fonctionnaient 24/24. Nous étions de simples esclaves des finances et de l’argent, nous n’avions plus aucune notion de la vie et du prochain. Aujourd’hui l’homme qui se croyait tout puissant est contraint de rester chez lui, enfermé pendant des mois sans sortir. L’environnement respire, les animaux dorment sur les routes et certains se baladent dans les villes. La nature respire et elle nous appelle. Nous nous forçons à rester dans les labos pour façonner des traitements chimiques afin de les essayer sur les animaux et sur les hommes les plus vulnérables. Malheureusement, nous nous heurtons à cette nature qui continue à nous appeler, elle aimerait remplacer les solutions chimiques par les solutions naturelles dans nos structures de recherche. Elle nous offre le moyen le plus sain de guérir de cette maladie et nous nous obstinons à vouloir la détruire avec nos batailles d’intérêts égoïstes et nos plans suicidaires pour les uns et génocidaires pour les autres.
Si j’ai un conseil à donner, ce serait de faire comme nos animaux qui respirent aujourd’hui. Chers humains, respirons un peu. Acceptons le sort que le monde nous a offert et cessons de vouloir forcer la nature à embrasser nos plans machiavéliques. Peut-être après cette période, chacun saura que cette terre ne lui appartient pas.
Chers Africains, sachez que c’est votre moment, mère nature vous appelle, écoutez-la et chérissez-la comme l’ont fait nos ancêtres. Ça a été notre mission de garder ce monde pour que les humains se multiplient et y vivent, c’est aussi notre devoir de le ramasser au moment où il était en train de chavirer. Alors réveillez-vous ! Nous sommes en mission. Ne délaissez pas les solutions naturelles de vos chercheurs : l’Apivirine le Covid-organics et le Manacovid sont issus des plantes de nos terres. Embrassons-les et sauvons cette nature. Ceux qui le comprendront, y arriveront, ceux qui vont s’entêter à suivre la donne machiavélique dans laquelle nous avons évolué il y a seulement 6 mois, vont effectivement être parmi les malheureuses victimes de ce retour au naturel.
Afoumba Dolly
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