By Entre fausses informations, rumeurs et propagande, le phénomène prend de plus en plus de l’ampleur. C’est dans un essai de 120 pages, publié aux éditions Jets d’Encre, que l’auteur camerounais attire l’attention des médias.
C’est un essai qui parle des inconvénients de la désinformation dans les sociétés africaines. Celle-ci a un impact négatif sur la politique, la santé et l’éducation, selon Paul-Joël Kamtchang, auteur de l’ouvrage intitulé « Désinformation en Afrique francophone ».
Selon l’auteur, « même si les médias traditionnels sont en général des sources d’informations crédibles, certains d’entre eux peuvent être exploités pour diffuser de la désinformation, que ce soit par manque de vérification des faits ou en raison de pressions politiques ou économiques. Notons que la désinformation peut prendre de nombreuses formes et se propager à travers une multitude de canaux ». Publié aux éditions Jets d’Encre, l’essai traite d’une thématique qui prend de plus en plus de l’ampleur dans la société africaine.
Dans cet essai, Paul-Joël Kamtchang plonge au cœur d’un phénomène en pleine expansion, où fausses informations, rumeurs et propagande redéfinissent et cohabitent. Il est donc urgent de sensibiliser. « La sensibilisation du public à ces tactiques et la promotion de la pensée critique et de la vérification des faits sont essentielles pour lutter contre la désinformation en Afrique francophone », extrait tiré de l’ouvrage.
L’œuvre littéraire de 120 pages fournit ainsi une stratégie pour renforcer la résistance des sociétés africaines face aux manipulations de l’information.
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