Quelques morceaux choisis de la correspondance de Mgr Luc Onambélé, Vicaire Général du Diocèse d’Obala aux responsables des centres de santé et chefs d’Etablissements de la localité.
- Donc le vaccin disponible contre le VPH est uniquement efficace contre les lésions précancérigènes de types 16 et 18 du VPH et non des 15 autres environ
- Pourtant la médecine basée sur l’évidence scientifique voudrait que les essais cliniques ne se limitent pas aux résultats intermédiaires, mais qu’ils aboutissent aux résultats définitifs
- Ce n’est pas un vaccin contre le cancer du col de l’utérus, mais plutôt contre le VPH de type 16 et 18 ou alors contre les lésions précancérigènes
- Donc le cancer du col de type « adénocarcinome » est hormono-dépendant en particulier des estrogènes. Les hormones exogènes ou les traitements hormonaux de substitution (THS) auxquels on soumet les femmes de la puberté à la ménopause est aussi à l’origine du cancer du col de l’utérus
- Chers collaborateurs, il ressort de ce qui précède que le vaccin contre le cancer du col de l’utérus est incomplet. Il manque à ce vaccin une certaine efficacité face à d’autres VPH différents des types 16 et 18. C’est un vaccin partiel parce qu’il y a plus 15 VPH qui n’y sont pas inclus. Par conséquent nous l’interdisons formellement dans nos formations sanitaires et dans nos écoles primaires. Je sais compter sur votre franche collaboration !
Lire la suite de la correspondance du Vicaire général.
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