By Le dévoilement de la maquette de ce gigantesque projet de 6500 milliards de francs Cfa par Bello Bouba Maigari, ministre d’Etat, ministre du Tourisme et des loisirs (Mintoul) le 18 décembre 2024 au palais des congrès à Yaoundé, participe de l’état d’avancement de ce projet qui va révolutionner le développement urbain camerounais.
A l’évocation du projet Ndollè City, on voit apparaître le programme World Dream Investment de l’entreprise Grand Impex Trading Ltd, qui le pilote. Et s’il n’est pas interdit de rêver, à la World Dream Investment, on ne se contente pas de rêver. On passe à l’action. Car depuis 14 ans déjà que ce projet de construction d’une ville écotouristique, digitale et autonome a été projeté à Sikoum, localité située dans la l’arrondissement de la Dibamba, département de la Sanaga Maritime, région du Littoral, par l’ingénieur financier camerounais Abraham Junior Ngosso. Si beaucoup n’y ont pas cru, entre 17 et 18 décembre 2024 au palais des Congrès de Yaoundé, une autre étape a été franchie avec la présentation officielle de sa maquette.
Cette étape, si elle n’était pas autant importante, n’aurait pas nécessité le déplacement, voire l’implication de Bello Bouba Maïgari, ministre d’Etat, ministre du Tourisme et des loisirs (Mintoul). Plusieurs autres membres du gouvernement n’auraient pas non plus pris part à cet évènement s’il s’agissait d’un bluff. Il ne pourra donc s’agir d’une escroquerie en bande organisée comme vue par certains leaders d’opinion. Car on ne saurait embobiner tout un gouvernement et même le Président de la République, chef de l’Etat dans un projet illusoire. Ndollè City piloté par le programme World Dream Investment de l’entreprise Grand Impex Trading Ltd, est bel et bien une réalité.
Peut-être que certains seraient encore à s’attendre à ce que le chef de l’État, dans son discours de fin d’année, dise un mot sur ce projet pour convaincre les plus sceptiques. Toujours est-il que plusieurs étapes ont déjà été franchies. Plus que l’on ne peut l’imaginer, on s’acheminerait de plus en plus vers le lancement des travaux. Et le moment venu, ceux qui n’y avaient pas cru, n’auront plus que leurs yeux pour pleurer parce qu’ils auront raté le départ d’un train cheminant vers la modernité et l’urbanisation dans la région du Littoral en particulier et du Cameroun en général.
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