Carlos Vila Nova; Président de São Tomé et Principe ; Julius Maada Bio, Président de la Sierra Leone ; Brice Oligui Nguema, Président du Gabon ; Nana Akufo-Addo, Président du Ghana ; et la reine Maxima des Pays-Bas et d’autres dirigeants ont commémoré le 40e anniversaire de la United Bank for Africa (UBA) Amérique et les 75 ans du groupe UBA.
La United Bank for Africa (UBA) a organisé un cocktail en marge de la 79ème Assemblée générale des Nations Unies (UNGA79) à New York. C’était en présence de l’homme le plus riche du continent africain, Aliko Dangote et de plusieurs hommes politiques et opérateurs économiques.
L’équipe UBA comprenait Oliver Alawuba, directeur général du groupe UBA ; Biola Bawuah, PDG d’UBA Afrique ; Sola Yomi Ajayi, PDG d’UBA International ; et Bolla Atta, directeur des communications d’entreprise du groupe UBA, et plusieurs autres.
L’événement s’est déroulé sur le thème : « Soirée d’influence et d’impact ». Y ont également pris part à cette célébration : l’actrice vétéran de Nollywood, Geneviève Nnaji ; Fondateur d’Ebony Life Group, Mo Abudu ; Président de MTN Nigeria Plc, Dr Ernest Ndukwe ; et le directeur des services d’entreprise de MTN Nigeria Communications, Tobe Okigbo, parmi plusieurs autres, dont la superstar de la musique, Davido, qui a fait danser les invités.
Tony Elumelu, président du groupe UBA, avait la charge de renforcer l’Afrique sur la scène mondiale lors du cocktail. L’objectif étant non seulement de connecter les dirigeants mondiaux, mais également de façonner l’avenir de l’Afrique et du monde dans son ensemble.
Lors de l’Assemblée générale des Nations Unies, la banque s’était rapprochée des dirigeants et des décideurs politiques du monde entier sur la nécessité de favoriser collectivement le progrès, de stimuler et d’investir dans des changements significatifs pour l’avenir de l’Afrique et de placer le continent sur la scène mondiale.
Elumelu a noté qu’il existe une meilleure façon d’investir en Afrique pour un avenir durable qui crée de la valeur pour tous.
Cela a encore une fois été réitéré lors des échanges de haut niveau organisés par Elumelu avec son équipe et le Premier ministre jamaïcain, l’hon. Andrew Holness sur la nécessité de se concentrer sur le renforcement des partenariats entre les Caraïbes et l’Afrique.
« Les jeunes des Caraïbes, tout comme ceux d’Afrique, ont besoin des mêmes opportunités économiques et des mêmes espoirs que leurs pairs du reste du monde. Ils sont résilients, créatifs, travailleurs et innovants. Nous devons donner la priorité et responsabiliser nos jeunes entrepreneurs car ils sont l’élément vital de nos régions », a-t-il déclaré.
Aux termes de l’AGNU, le président du groupe a rejoint l’ancien président américain Bill Clinton lors du déjeuner de la table ronde des dirigeants de la Clinton Global Initiative sur « Vitesse et échelle : atteindre les objectifs climatiques », qui a souligné le besoin urgent de solutions innovantes pour atteindre les objectifs climatiques tout en favorisant le développement durable.
Lors de la réception du Programme alimentaire mondial (PAM), Elumelu s’est joint à la directrice exécutive du PAM, Cindy McCain, pour appeler à une collaboration urgente pour lutter contre la crise alimentaire mondiale.
Tout en soulignant notre responsabilité commune de soutenir les 733 millions de personnes confrontées à l’insécurité alimentaire, Elumelu a déclaré que le succès commercial ne peut être réalisé si les gens ont faim.
Également à l’Assemblée générale des Nations unies, Elumelu a rencontré le président Brice Oligui Nguema du Gabon, où il a appelé au partenariat pour multiplier les opportunités, alimenter l’innovation et libérer le potentiel de la prochaine génération d’entrepreneurs africains.
Selon Elumelu, la sortie à l’AGNU visait à réunir les dirigeants mondiaux pour parler de trois choses importantes: « une croissance économique transformatrice pour l’Afrique afin que nous puissions éradiquer la pauvreté et créer la prospérité pour tous ; Veiller à créer des emplois pour nos jeunes. Nous devons arrêter de gaspiller nos talents sur le continent ; et troisièmement, parler d’une transition énergétique équitable et bénéfique pour l’Afrique ».
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