By J’ai appris que le Cameroun a réceptionné des cartons de vaccins contre la poliomyélite, fièvre jaune et la tuberculose. Plusieurs personnes se sont empressées de dire que ce ne sont pas des vaccins contre le coronavirus. Peu importe.
Tout simplement parce que tous les Africains qui jouissent encore de toutes leurs facultés mentales ont officiellement rejeté l’idee d’un vaccin contre ce virus né à des milliers de kilomètres du berceau de l’humanité sur eux. Nous ne sommes plus les cobayes de Big Pharma.
La vérité est que nous avons suffisamment ouvert les yeux pendant cette période de crise sanitaire mondiale. Nous ne seront plus des suiveurs passifs. Les bonnes et mauvaises informations mises à notre disposition dans le seul but de nous endormir, nous ont plutôt ouvert les yeux. En voulant nous imbeciliser, l’industrie du crime a plutôt renforcé notre méfiance vis-à-vis des produits pharmaceutiques sortis des laboratoires occidentaux.
À travers les nombreuses dénonciations mises à notre disposition, nous savons désormais que les vaccins qui nous sont administrés depuis des décennies ne sont pas toujours pour notre bien. Nos médecins locaux, ceux qui pratiquent la médecine naturelle et qui sauvent des vies rien qu’avec les fruits de la nature, nous disent que ces médicaments, vaccins et autres, ont toujours des effets secondaires, qui se manifestent tôt ou tard sur notre organisme. Les conséquences ne sont pas souvent immédiates. Il faut attendre plusieurs années pour avoir des maladies du genre hépatique, AVC, MST, etc.
Donc je me méfie désormais de ces jolis cartons qui transportent des tueurs silencieux. Je me méfie encore plus lorsqu’on m’informe que ces vaccins sont couverts par une agence spécialisée de l’Organisation des Nations unies (Onu). On sait tous comment l’OMS, une agence spécialisée de cette institution internationale pèse de tout son poids pour neutraliser la médecine naturelle africaine.
Didier Ndengue
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