Les vaccinations par hasard en Afrique détruisent nos enfants : Même les ras de laboratoires sont bien sélectionnés et mieux consultés !
Le problème de la vaccination en Afrique et même dans le monde est qu’il est plus une affaire politique et commerciale qu’une affaire de santé publique et de protection de l’individu. La plupart des campagnes de vaccination massive en Afrique causent plus de dégâts que les maladies que l’on dit vouloir combattre. L’on prend des individus de manière hasardeuse, sans vérifier leurs précédentes santés ou même de vaccination. Personne ne les suit pour voir l’effet du vaccin sur eux. En ce qui concerne le cas actuel du Cameroun, l’on va administrer aux jeunes filles des vaccins qui normalement sont administrés 2 fois en un espace de 6 mois et dont les experts conseillent une vérification de la nécessité ou de l’urgence du vaccin chez le patient. Mais nos petites filles sont prises par hasard. Aucune de ces vérifications ne sera faite, aucun suivi, aucun contrôle même du vaccin pour vérifier son efficacité. Non ! Nous ne diabolisons pas le vaccin en général mais nous diabolisons la manière donc ces vaccins sont administrés chez nous.
Si les campagnes de vaccination surtout chez nous en Afrique prenaient en compte la nécessité d’immuniser la population contre les maladies et de protéger la reproduction chez les jeunes filles et les garçons, des préalables indispensables seraient adoptés. Tels que la conscientisation des patients sur la nécessité et l’efficacité démontrée du vaccin, leur accord ou celle de leurs parents s’ils sont encore mineurs, le profilage des patients concernés, la consultation de leurs précédents vaccins pour s’assurer qu’ils ne reçoivent pas une double vaccination ou qu’ils n’auront pas de réactions allergiques en cas d’injection ou d’inhalation. La transparence médicale sur les effets secondaires possibles du vaccin et sur l’urgence sanitaire d’adopter ce vaccin ou pas. Par exemple, ce n’est pas parce que « en France le cancer du col de l’utérus touche près de 3 000 Françaises par an et est responsable de 1 100 décès » que nous avons les mêmes chiffres au Cameroun. En plus malgré ces chiffres en Europe, le vaccin reste très controversé car ses effets secondaires peuvent être plus dangereux que la maladie elle-même. C’est la raison pour laquelle dans le cadre de la lutte contre les papillomavirus, ceux qui causent le cancer du col de l’utérus, (il y en a plusieurs types : « ceux qui régressent le plus souvent spontanément, éliminés par l’organisme dans les 6 à 13 mois suivant la contamination et ceux qui persistent et initient un processus cancéreux ») il y a un moyen de prévention efficace, qui est le frottis de dépistage. Encore que les chiffres du pays sur lequel repose nos politiques nous informent que « le dépistage du cancer du col a eu de réels bénéfices : en 30 ans, le nombre de cas par an est passé de 7 000 à 3 000, avec une diminution régulière chaque année ». Alors, dites-nous, ces 339 908 filles que vous prenez au hasard pour injecter vos vaccins, sont-elles passées au dépistage de frottis pour vérifier si elles sont à risque ? Ont-elles été examinées en amont pour vérifier si les parents, peut-être médecins, ne leur ont pas déjà fait prendre le vaccin ? Ont-elles le bon âge pour déjà recevoir ce vaccin ? A-t-on vérifié si elles ne feront aucune réaction allergique qui peut même conduire à leur stérilité ? A-t-on même vérifié le vaccin lui-même que l’on veut administrer ? Puisque les experts parlent de deux doses ? Va-t-on faire deux tours dans leur établissement et d’abord consulter les effets de la première dose ?
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Si vous ne pouvez pas répondre à ces questions, alors laissez nos filles tranquilles. Ne détruisez pas notre future génération, ne tuez pas la capacité de reproduction de ces filles. Nos pays ont le don du désordre et du je « m’enfoutisme ». Par le passé nous savons que ce type de campagne a causé des malformations et des infertilités chez nos filles en Afrique. Pour une fois, chers parents soyez plus exigeants, soyez plus regardants, ne laissez pas que des campagnes de piqures hasardeuse soient faites sur nos filles. Exigez à l’Etat de rendre notre santé plus structurée et responsable. Tous les peuples dans ce monde sont passés par ces problèmes.
En Europe, la colère du peuple a forcé l’Etat à adopter plus de méthode de contrôle dans l’admission des vaccins. Rien n’est plus fait par hasard. Avant toute action, les centres d’assurance maladie font vérifier les produits de vaccination dans des laboratoires médicaux pour juger de la fiabilité des vaccins. Aucune action pareille n’est menée sans l’accord de l’État, des médecins locaux et surtout de la population. Avec les expériences de pandémie comme la peste, la population européenne est très réticente aux activités médicales de masse. Toute personne ayant reçu un vaccin, a un carnet qui indique le type de vaccin, la date et la structure de santé dans laquelle il a été administré. Aujourd’hui si vous voyez que le débat continue à peser sur la scène sociale, c’est parce que le peuple a décidé de ne plus se laisser manipuler pour des intérêts égoïstes de l’oligarchie capitaliste !
Un rappel sur le réveil du peuple est important car en ce qui concerne les essaies de vaccins, nous savons que l’agenda reste inchangé. Les pays qui avaient vendu leurs populations en signant les contrats liés à la « cobayisation » de leur peuple ne se sont pas rétractés donc restons vraiment très attentifs et protégeons nos enfants !
Par Dolly Afoumba, France
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