La ville française abrite la 19ème édition du Festival international du film panafricain du 18 au 23 octobre 2022.
Cannes : les films panafricains à l’honneur
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Cannes : les films panafricains à l’honneur

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La ville française abrite la 19ème édition du Festival international du film panafricain du 18 au 23 octobre 2022.

A l’initiative de l’association Nord Sud Développement, la 19ème édition du Festival international du film panafricain de Cannes (FIFP) aura lieu du 18 au 23 octobre 2022. Le rendez-vous qui se déroulera à l’Espace Miramar mettra en compétition des films venant de tout le continent africain (Nigeria, Cap-Vert, Cameroun, Kenya, Congo, Burkina Faso…), d’Outre-mer, mais aussi d’Europe ou d’Amérique. Les Dikalo Awards primeront neuf catégories (Meilleur long métrage fiction, Meilleur documentaire long métrage, Meilleur court métrage fiction, Meilleur court métrage documentaire, Meilleur acteur, Meilleur actrice, Mention spéciale du jury long métrage fiction, Mention spéciale du jury long métrage documentaire, Dikalo de la paix nord-sud développement).

«Le monde panafricain regorge d’une richesse artistique et créatrice infinie. Il suffit de s’asseoir en famille dans la mythique salle du Miramar entièrement rénovée et se laisser porter par ce voyage à travers le 7ème art. Les équipes de films feront le déplacement pour certains afin de soutenir leur nomination au prestigieux Dikalo Awards 2022», précise Eitel Yohan Ngangue Ebelle,  Directeur du FIFP.

Plusieurs articulations meubleront cet évènement unique dans le paysage français. Notamment des conférences-débats, ateliers et forums.

Le jeu naturel des acteurs fait partir des critères de sélection des meilleurs films. «Le Festival international du film panafricain de Cannes ose miser sur la nouvelle dynamique des artisans d’images. Ceux qui impulsent une autre manière de rêver le monde, de bâtir sur des bases fondamentales. Ou la matière ne prime pas sur le naturel. Celles qui prônent l’essentiel et le bien-être comme valeurs sûres et de références. Oui nous devons plus que jamais réinventer un avenir sans le mythe de la suprématie de la technologie et le règne de l’artifice», souligne Eitel Basile Ngangue Ebelle, président du festival.

Simon Keng

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