By La victoire est proche. Elle est même déjà là. Nous la ressentons. Mes félicitations pour le combat abattu jusqu’ici. Mais le combat doit se poursuivre jusqu’au coup de grâce. L’heure du relâchement n’a pas encore sonné. L’ennemi rode, il est en train de changer sa manière de s’assoir. Toutes ses griffes sont dehors. Il est pourtant agonisant.
Cette petite pensée s’adresse aux promoteurs des plateformes panafricanistes (télévisions, radios, réseaux sociaux,…). En tant que digne fils d’Afrique, je vous demande de redoubler d’effort et de rester fermes face aux multiples tentatives de démobilisation, de découragement et de division par l’adversaire. Que votre instinct matérialiste ne prenne pas le dessus en ce moment précis. De peur d’être traités de traîtres plus tard.
La jeunesse africaine a les yeux braqués sur vous. Elle croit en vous et est très attentive à la dynamique de libération du continent en marche actuellement dans tous les coins du monde.
Celui qui trahira cette dynamique au nom de quelques billets de banque ne sera jamais pardonné. Il sera jeté et oublié très rapidement dans les poubelles de l’histoire. Les partenaires les chiffonneront. Ils diront : «On ne peut pas faire confiance à un promoteur de média africain pour la lutte panafricaniste».
Ils nous prendront tous pour des traîtres à cause de la trahison d’un individu. Thomas Sankara, Mouammar Kadhafi et tous les soldats panafricanistes se retourneront mille fois dans leur tombe.
Mais une chose est certaine : d’autres lutteurs, encore plus forts et déterminés sont en train de prendre le relais. Ils combattront sévèrement l’ennemi et les traîtres.
Didier Ndengue
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